Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica nr 008/2013Pamięć i zapomnienie w dawnych literaturach romańskich, red. K. A. Kula, W. K. Pietrzakhttp://hdl.handle.net/11089/102812024-03-29T06:58:25Z2024-03-29T06:58:25ZPamięć a struktura spektaklu „all’improvviso”Surma-Gawłowska, Monikahttp://hdl.handle.net/11089/122572018-02-01T11:19:37Z2013-01-01T00:00:00ZPamięć a struktura spektaklu „all’improvviso”
Surma-Gawłowska, Monika
Il saggio illustra il ruolo della memoria nell’improvvisazione, considerata parola-chiave per il teatro dei comici italiani, soprattutto nei secoli XVI-XVIII. Basandosi su descrizioni di spettacoli all’italiana nonché su testi di vari autori legati alla realtà del teatro si può estrarne informazioni sulla vera natura dell’improvvisazione. Evaristo Gherardi putava sul ruolo dell’immaginazione, la quale in uno spettacolo dell’improvvisa contava più della memoria. Luigi Riccoboni, pur non essendo favorevole all’improvvisazione, ne sottolineava i lati positivi, tra cui la naturalezza della recitazione. Jean-Augustin-Julien Desboulmiers ammirava il carattere collettivo della tecnica, nonché la “naturalezza e verità” della recitazione con il loro impatto sulla struttura dello spettacolo. Infine il famoso attore della commedia dell’arte, Flaminio Scala dava una delle caratteristiche più riuscite della tecnica dell’improvvisazione, ricorrendo alla visione aristotelica dello spettacolo. Da tutte quelle osservazioni emerge un’idea dell’improvvisazione intesa come una peculiare tecnica che non fa a meno del testo e della memoria, ma che li sfrutta in un modo del tutto originale.
2013-01-01T00:00:00ZPamięć początków: rodzinna wyspa w poezji Antoine’a Bertin i Évariste’a ParnyKalinowska, Ewahttp://hdl.handle.net/11089/122532018-02-01T11:19:36Z2013-01-01T00:00:00ZPamięć początków: rodzinna wyspa w poezji Antoine’a Bertin i Évariste’a Parny
Kalinowska, Ewa
L’objectif principal de notre contribution est d’analyser les traces de la présence de l’île natale dans les œuvres de deux poètes oubliés de la fin du XVIIIe siècle, Antoine Bertin et Évariste Parny, tous les deux originaires de l’Île Bourbon (actuellement La Réunion). Nés dans les familles riches de prorpiétaires bourbonnais, ils ont été envoyés assez jeunes en France pour y étudier et faire une carrière militaire. Leurs recueils de poésies, classiques dans la forme et renfermant maints motifs mythologiques, contiennent en même temps des traces perceptibles de l’enfance passée dans les tropiques : paysages caractérsitiques, faune et flore exubérantes, autochtones avec leurs coutumes et comportements particuliers. En dépit de la majeure période de leurs vies passées en France, Bertin et Parny n’oublient pas leur terre natale et le font sentir dans leurs textes (bien qu’il ne s’agisse pas de présence dominante).
2013-01-01T00:00:00ZPamięć i zapomnienie w powieści Rétifa de la Bretonne – « Journal d’une impardonnable folie »Rabsztyn, Andrzejhttp://hdl.handle.net/11089/122522018-02-01T11:19:40Z2013-01-01T00:00:00ZPamięć i zapomnienie w powieści Rétifa de la Bretonne – « Journal d’une impardonnable folie »
Rabsztyn, Andrzej
La prédilection de Rétif de la Bretonne pour l’écriture intime nous invite à analyser la question de la mémoire et de l’oubli dans son bref roman, "Journal d’une impardonnable folie", publié en 1779 et constituant l’un des épisodes d’une œuvre plus importante, "La Malédiction paternelle". Cette « impardonnable folie » est une passion irrésistible du héros pour une jeune fille, dont les conséquences empêchent ce dernier d’oublier la malédiction de son père. Dans ce travail, nous nous demandons notamment dans quelle mesure la conjonction de deux procédés : la lettre et le journal, permet au narrateur de mémoriser certains souvenirs de sa vie privée. Or, le passage de la forme épistolaire à l’écriture diaristique favorise, nous semble-t-il, la mémoire du narrateur, car le journal rend la valeur de l’instant privé et ne peut être relu que par le diariste même, tandis que la lettre suppose une volonté de divulgation (cependant les lettres dont il est question dans ce roman, ne seront jamais envoyées). Le diariste cherche donc à mémoriser certains faits intimes car leur souvenir lui procure de fortes sensations, comme le plaisir, l’affection ou l’attendrissement, mais aussi il constitue une sorte d’instruction.
2013-01-01T00:00:00ZMarivaux, „Życie Marianny” – przeszłość jest obcym krajemMołoń, Sylwiahttp://hdl.handle.net/11089/122442018-02-01T11:19:36Z2013-01-01T00:00:00ZMarivaux, „Życie Marianny” – przeszłość jest obcym krajem
Mołoń, Sylwia
Le sujet de l’article est l’analyse psychologique de Marianne et la forme épistolaire de l’œuvre de Marivaux : la lettre comme témoin oculaire de la vie à l’époque de la Régence, comme moyen de transmettre des nouvelles et de revenir au passé. L’auteure s’interroge sur l’importance du souvenir dans "La Vie de Marianne". L’œuvre inachevée, parue à un rythme lent, est écrite dans un registre très réaliste. Marianne, probablement venant de la noblesse, raconte les événements de sa vie par les lettres qu’elle envoie à une amie dont la présence se fait sentir à plusieurs reprises. L’élément principal de l’analyse est l’accumulation de différentes émotions telles que la nostalgie, la désespérance, la joie, l’ironie, la tristesse. Marivaux reflète une image réaliste de l’époque par les dialogues, par la narration épistolaire et par la présentation des personnages. Avant toutes choses, l’étude porte sur la mémoire comme le seul moyen de retenir le temps qui passe et de retourner à la jeunesse. L’article aborde aussi la fonction de l’oubli qui libère notre esprit des mauvais souvenirs.
2013-01-01T00:00:00Z