Inicjatywy polskie w pierwszym etapie prac Komisji Przygotowawczej do Konferencji Rozbrojeniowej (grudzień 1925—kwiecień 1927)
Abstract
L'ouvortnre des débats de la Commission Préparatoire a eu lieu dans la période
très difficile peur la II-éme République. Les événements du mois de mai
ont du avoir l'influence sur la direction de la politique étrangère. La déclaration
publique de J. Piłsudski el surtout l'exposé à la diétte du ministre des affaires
étrangères démonstrent l'importance attachée par Varsovie à l'arrangement pacifique
des relations en Europe. Car le dernier a souligné que "l’État qui tend le
plus à la paix c’est la Pologne qui (doit se reconstituer non seulement après les
guerres de la dernière décennale mais aussi après l'esclavage séculaire et partages".
Toutes les actions au lorum de la Société des Nations dans la 1-ère période
de son activité ont été déterminées d’une port par le status irrésolu des voisins
et l'activité 'improductive de la Commission du Contrôle et de l'autre par la
thèse d’une défavorable position géopolitique et la né cessité de la défense du statlis
quo post Versailles. Ces facteurs ainssi que l’observations de la réalité après
la guerre ont encouragé le gouvernement polonais à la resèrve face aux essais
de la solution radicale des questions du désarmement. Dans les cercles diplomatiques
et militaires l’on voy a it le progrès uniquement comme suite de l'atmosphère
de confiance. D'où I appuy de la thèse que „les résultats môme modestes des
travaux de la Commission Préparatoire de la Conférence du Désarmemnt vont calmer l'opinion publique dans un monde entier et les gouvernements vont se mettre volontiers
à la signature des accords".
Juste pour celte raison on a proposé à Genève d'abord la conception des
accords régionaux, alors la version territoriale limitée du Protocole de Genève ou
l’on a arrêté et aprè. le projet de la „clause russe". Celle-ci dispensait les États
voisins de l'Union Soviétique du devoir de suivre les accords éventuels jusqu'à
ce qui ils soient signés par Moscu. On peut attribuer le caractère pareil aux
efforts pour la mise dans l’acte final de la Commission Préparatoire d'une autre
clause qui aurait donné à la Pologne et républiques baltes le droit de ne pas
publier les coordonnées concernant le commerce des armes avant l'acceptation par
l’Union Soviétique de la convention sur la limitation du commerce des armes, munitions
et moyens de guerre. Cela été élaboré encore en juin 1925. L'absence de
l'Union Soviétique parmi les pays signataires — d'après l’expert militaire Adam
Stebłowski „constituait une lacune dans l'union de futurs signataires d’une
nouvelle convention sur la regulation du commerce des armes".
Enfin, vu la propagande et les buts économiques (faiblesse de propre industrie
chimique) on rédamait d'une façon conséquente la sanction juridique de
l’interdiction des armes chimiques et bactériologique.
Il résulte de ce qui précède que l'activité de la diplomatie de la II-ème République
au forum de la Commission Préparatoire de la Conférence du Désarmement
doit être conçue comme l’ensemble des facteurs extérieurs et intérieurs du
pays en voie de sa réconstitution après 120 ans d’esclavage.
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