| dc.description.abstract | Dans mon énoncé, j'essayais d'accentuer et d'enrichir certaines remarques qui
apparurent dans la conférence du professeur agrégé, Mme Barszczewska-Krupa. Selon
moi, la génération d'insurrection se divise distinctement en deux groupes: celui de la
jeunesse mûre politiquement au moment de l'éclat de l'insurrection et celui qui
n'eut pas l'occasion de se consolider avant la nuit de novembre. Ce sont avant
tout la participation à l'activité des sociétés de jeunesse avant 1822 ou l'abstention
de celle-ci qui décidaient de la possession de l'expérience politique ou de son
manque. Aussi essayais-je de démontrer que la polarisation de la génération d'insurrection
était approfondie par l'influence diverse des épreuves de l'époque napoléonienne
ainsi que par le rapport à la plus proche tradition de culture et d'indépendence
et à la génération des pères, le rapport qui résultait de la date de naissance,
du liieu de domicile et de l'éducation. La question suivante, sur laquelle j'essayais
d'atfcirer l'attention, c'était „la super-excitabilité" de la jeunesse. Le manque d'équilibre
entre l'émotion et la réflexion patriotiques, accentué par la conférencière est
évident. Un autre dénoûment était impossible, puisque une partie de la génération
était privée de chance de s'instruire politiquement, cependant toute la société, et
notamment les jeunes faisant leurs études, était soumise à l'éducation patriotique,
que j'ai caractérisée en bref et qui était très différenciée, riche et forte, réalisée par la maison natale, l'école, la littérature et les périodiques. | pl_PL |
