Cesarz w politycznej teologii Euzebiusza z Cezarei i nauczaniu Jana Chryzostoma
Streszczenie
La symbiose entre l’Empire et l'Eglise commencée par Constantin le Grand exigeait
l'élaboration de la théologie politique chrétiemne. Cette oeuvre a été due à Eusèbe de Césarée.
Selon sa conception l’empereur était une image et régent de Dieu sur la terre auquel Dieu a confié
le gouvernement de l'Empire. L'empire était ta copie du Royaume Céleste et l’empereur une loi
vivante qui en tant qu’interpretateur de Dieu et souverain de l’Eglise mène les fidèles jusqu’au
salut. Cette conception coincidait avec le désir de Constantin le Grand et désormais elle était
officiellement propagée par l’Etat. Les ecclesiastiques ariens respectaient les droits de l’empereur
au contrôle de l’Eglise, à la prise des décisions concernant sa vie et ils étaient même prêts à accepter sa supériorité face au concile. Les orthodoxes cependant exigeaient l'autonomie de l'Eglise et cela
élait particulièrement fort accentué par les évêques occidentaux. Jean Chrysostonie (354-407)
évêque de Constantinople exprime différemment au sujet de l’empereur, d’ailleurs il ne ue réfère
pas du tout à Eusébe. Selon Jean Chrysostome, l’Etat et le pouvoir ont été crées pur Dieu
(conformément à la doctrine de Saint-Paul) mais l'empereur n’est pas image et régent de Dieu sur
la terre mais son collaborateur et serviteur. La nature ne lui a pas donné les dons singuliers par
rapport à d’autres gens: il est élu car les gens depuis longtemps se rendaient compte de ses
avantages face à la société. Une grande portée de son pouvoir exige de l’empereur les qualités
spéciales, le savoir de maîtriser soi-même. Il doit aider l’Eglise mais également respecter ses lois
tout en sachant que le pouvoir civil est inférieur à celui ecclesiastique. Jean Chrysostome avec ses
idées se sentait capable de critiquer la cour impériale et cela était une des causes de son
bannissement. Le pouvoir fort centralisé à Byzance cherchait alors à se soumettre l’Eglise, à la
transformer en institution étathique et ne tolérait pas les idées propagées par l’évêque tel comme
Jean Chrysostome.
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