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dc.contributor.authorBralewski, Sławomir
dc.date.accessioned2015-11-16T09:14:55Z
dc.date.available2015-11-16T09:14:55Z
dc.date.issued2005
dc.identifier.issn0208-6050
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/11089/13767
dc.description.abstractLes évêques de l’Occident et ceux de l’Orient se sont divisés essentiellement sur le schisme survenu dans l’Eglise d’Antioche au IV éme siècle. Or ils se sont prononcés en faveur des lideurs des camps opposés qui aspiraient au trône de l’évêque à Antioche. Us basaient leur opinion en recourant à la loi ecclésiastique. L’Occident désapprouvait Mélèce d’avoir transgressé les canons défendant à l’évèque d’échanger une Église contre une autre. En effet, ledit Mélèce avait déjà été l’évèque de la ville de Bérée syrienne. Par contre, l’Orient démontrait à Paulin d’Antioche, soutenu, lui, des évêques occidentaux que son élection et son sacre s’étaient accomplis à rencontre des règles ecclesiastiques exigeant la participation et te consentement des évêques des éparchies voisines. De pareilles remontrances étaient avancées sous l’adresse d’Evagre, son successeur. Il est donc difficile de ne pas croire que les deux parties traitaient la loi d’une façon sélective, en respectant certains canons, tout en rejettant ceux qui leur étaient incommodes. Serait-ce à dire qu’elles se servaient de cette loi d’une manière instrumentale? L’examen des sources nous autorise à refuser ce type des suggestions. Au cas du droit défendant à l’évêque de changer de siège, les évêques occidentaux soutenaient le respect de la lettre, tandis que ceux de l’Orient cherchaient à en sauvegarder l’esprit. Cette loi avait été stipulée pour venir à rencontre des ambitions excessives du clergé se transférant arbitrairement d’une Église à l’autre. C'est pourquoi, pour les autorités épiscopales de l’Orient il importait la cause réelle du transfert, ce qui se rapportait à l’examen de chacun des cas particuliers. Par contre, à l’Occident, on traitait la défense de la substitution d’un évêché par un autre, comme principe sans exclusion aucune, dans l’esprit de l’ancienne devise romaine: dura lex sed lex. Il faut néanmoins constater que l’évêque de la ville de Rome, dans les deux cas bien précis, privilégiait les autres principes à la loi ecclésiastique. Pour le premier de ces cas, il s’agirait de choisir un évêque orthodoxe sur un territoire - à ce qu’il croyait - dominé par des héterodoxes, et par là, de la défense de l’orthodoxie. Dans l’autre cas, il serait question d’une appréhension de voir s’affaiblir la position de l’évêque de la ville de Rome dans l’Église catholique.pl_PL
dc.description.sponsorshipZadanie pt. Digitalizacja i udostępnienie w Cyfrowym Repozytorium Uniwersytetu Łódzkiego kolekcji czasopism naukowych wydawanych przez Uniwersytet Łódzki nr 885/P-DUN/2014 zostało dofinansowane ze środków MNiSW w ramach działalności upowszechniającej naukę.pl_PL
dc.language.isoplpl_PL
dc.publisherWydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiegopl_PL
dc.relation.ispartofseriesActa Universitatis Lodziensis. Folia Historica;80
dc.titleKanony kościelne w sporze między Wschodem a Zachodem na tle schizmy antiocheńskiej w IV wiekupl_PL
dc.title.alternativeLe conflit de droit canonique entre l’Occident et l’Orient sur le schisme ecclésiastique à Antioche au IVème sièclepl_PL
dc.typeArticlepl_PL
dc.rights.holder© Copyright by Wydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiego, Łódź 2005pl_PL
dc.page.number27-43pl_PL
dc.contributor.authorAffiliationUniwersytet Łódzki, Instytut Historiipl_PL


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