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dc.contributor.authorCeran, Waldemar
dc.date.accessioned2015-12-02T07:38:43Z
dc.date.available2015-12-02T07:38:43Z
dc.date.issued1992
dc.identifier.issn0208-6050
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/11089/14704
dc.description.abstractLa symbiose entre l’Empire et l'Eglise commencée par Constantin le Grand exigeait l'élaboration de la théologie politique chrétiemne. Cette oeuvre a été due à Eusèbe de Césarée. Selon sa conception l’empereur était une image et régent de Dieu sur la terre auquel Dieu a confié le gouvernement de l'Empire. L'empire était ta copie du Royaume Céleste et l’empereur une loi vivante qui en tant qu’interpretateur de Dieu et souverain de l’Eglise mène les fidèles jusqu’au salut. Cette conception coincidait avec le désir de Constantin le Grand et désormais elle était officiellement propagée par l’Etat. Les ecclesiastiques ariens respectaient les droits de l’empereur au contrôle de l’Eglise, à la prise des décisions concernant sa vie et ils étaient même prêts à accepter sa supériorité face au concile. Les orthodoxes cependant exigeaient l'autonomie de l'Eglise et cela élait particulièrement fort accentué par les évêques occidentaux. Jean Chrysostonie (354-407) évêque de Constantinople exprime différemment au sujet de l’empereur, d’ailleurs il ne ue réfère pas du tout à Eusébe. Selon Jean Chrysostome, l’Etat et le pouvoir ont été crées pur Dieu (conformément à la doctrine de Saint-Paul) mais l'empereur n’est pas image et régent de Dieu sur la terre mais son collaborateur et serviteur. La nature ne lui a pas donné les dons singuliers par rapport à d’autres gens: il est élu car les gens depuis longtemps se rendaient compte de ses avantages face à la société. Une grande portée de son pouvoir exige de l’empereur les qualités spéciales, le savoir de maîtriser soi-même. Il doit aider l’Eglise mais également respecter ses lois tout en sachant que le pouvoir civil est inférieur à celui ecclesiastique. Jean Chrysostome avec ses idées se sentait capable de critiquer la cour impériale et cela était une des causes de son bannissement. Le pouvoir fort centralisé à Byzance cherchait alors à se soumettre l’Eglise, à la transformer en institution étathique et ne tolérait pas les idées propagées par l’évêque tel comme Jean Chrysostome.pl_PL
dc.description.sponsorshipZadanie pt. Digitalizacja i udostępnienie w Cyfrowym Repozytorium Uniwersytetu Łódzkiego kolekcji czasopism naukowych wydawanych przez Uniwersytet Łódzki nr 885/P-DUN/2014 zostało dofinansowane ze środków MNiSW w ramach działalności upowszechniającej naukę.pl_PL
dc.language.isoplpl_PL
dc.publisherWydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiegopl_PL
dc.relation.ispartofseriesActa Universitatis Lodziensis. Folia Historica;44
dc.titleCesarz w politycznej teologii Euzebiusza z Cezarei i nauczaniu Jana Chryzostomapl_PL
dc.title.alternativeL’Empereur dans la théologie politique d’Eusèbe de Césarée et dans la doctrine de Jean Chrysostomepl_PL
dc.typeArticlepl_PL
dc.page.number13-27pl_PL
dc.contributor.authorAffiliationUniwersytet Łódzki, Instytut Historiipl_PL


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